Aux portes de la ville

Où Yarrik essai en ce moment de rentrer de nouveau en ville.

Yarrik arrêta de lancez ses dés quant il vit un homme venir dans sa direction d'un pas ferme. Il n avait pas de signe particulier apparent. Il se mi a ma auteur et me dit d'une voie faible surement pour être sur de n être entendu que de moi.

"Hey, vous. Quelqu'un n'a pas apprécié que vous soyez jeté de la cité de cette façon. Il m'envoit vous faire savoir qu'il souhaite vous faire réintégrer la cité, à condition que vous l'aidiez à mener la vie dure au capitaine de la garde.

Vous savez, les rumeurs vont bon train, et votre exclusion de la ville par le capitaine n'a pas tardée à lui atterrir dans les oreilles. Si vous l'acceptez, il demande à ce que vous le rejoignez dans la ruelle à côté du marchand d'armes. Si au soir vous n'êtes pas entré, il m'a dit de vous prévenir qu'il vous retrouvera près du grand chêne, un peu plus loin à l'est, en dehors de la ville.

Voilà, je serais vous je ne le décevrais pas."

Il juste le temps de me dir cela qu'un garde lui donnait déjà l'ordre de quitter les lieux enfin... de rester loin de moi. Pour éviter tout problème il exécuta l'ordre du soldat et partie.

*Bon je peu pas..plus entré comme ça dans la ville il y a bien les chariots des marchants mais ils étaient tous fouiller, Grimper sur les rempares trop dangereux les rondes son trop rapprocher.

Bon allez je vais trouve se grand chêne dont il ma parlé.*

Pour éviter que les garde ne suspecte quelque chose je resta 20minute de plus avant de partir.

Après une heur de marche et quelque détoure pour éviter d'être suivit Yarrik arriva au grand chêne

*Bon je doit être en avance je vais en profiter pour me trouvez une planque au cas ou cela serait un piège.*

Yarrik trouva un autre arbre au feuillage danse. Il grimpa dans l'arbre et si camoufla.

Suite au départ du capitaine et de sa nouvelle recrue, je décidais moi même de quitter les lieux. Je redescendis les escaliers et sortit finalement du palais. Lui qui fût autrefois si animé... Enfin, l'Empereur n'est plus maintenant, une page a été tournée.

Je me rendais maintenant au point de rendez vous, derrière la boutique... Personne pour le moment. Je me posais dos au mur et regardais les citoyens passer, se saluer, mais pas le banni. Quel destin funeste, banni à cause d'une guilde qui n'existe pas... Haha.

Mais le fait qu'on pensait que l'Empereur avait été assassiné, et qu'il ne soit pas mort naturellement m'inquiétait. Qu'allait-il advenir de la guilde si nous nous faisions remarquer.

L'après midi passa sous cette pensée, et le soleil faiblissait de plus en plus. Avait-il reçu mon message ? Etait-ce simplement un empêchement... Une simple ruse telle que la demande d'entrer pour s'acheter des vivres aurait pu marcher pourtant...

Non mais quel imbécile ce capitaine.... *Je vous donne 100 pièces pour que vous vous achetiez de la nourriture, sauf que je vous banni de la ville...* Autant avouer ouvertement que Yarrik aille crever plus loin.

Il était temps que les commandes changent de main. Cette Elfe était parfaite pour ça... Je n'ai qu'à l'aider à gravir les échelons, peut-être se sentira-t-elle redevable envers moi et que ça pourrait m'être utile. Les Impérialistes seraient dès lors un plus maigre soucis que ce capitaine dégénéré qui serait capable de m'arrêter juste pour satisfaire ses désirs.

Mes pensées s'arrêtèrent à la suite du coucher du soleil. Il ne me restait plus qu'à aller voir au second point de rendez vous... Je sortis donc de la ville et rejoignais le point fixé pour le rendez vous.

S'il s'avise de me faire attendre... S'il a reçu le message... Hahaha...

Je m'adossais au grand chêne et attendit quelques temps voir s'il allait venir.

Au fur et a mesure que le jour laissai sa place a la douceur de la nuit, les paysage changeai de couleur, les animaux laissai leurs places a d'autre. Le silence se fessai et un dou vent soufflai quant un elfe arriva et se posa contre le grand chêne.

Yarrik regarda l'elfe depuis sa branche doit il était caché se demandant si c'était la personne qu'il attendait. Au bout de quelque minutes de débat contre lui même Yarrik décida de se montré.

Yarrik sauta de la branche ou il était perché et atterri sans bruit sur l'herbe de la forêt devant l'elfe le dévisagent. Yarrik resta la sans rien dire, la main sur la poignée de sa dague juste au cas ou.... puis fini par dire.

- C'est vous qui voulez mener la vie dur au capitaine de la citée humaine ?

Presque à bout de patience, je commençais à me demander si je ne ferais pas mieux de partir. Quand cette idée trottait vraiment dans ma tête, j'entendis une branche bouger et l'Elfe atterrir sur le sol. Il me regarda quelques secondes avant de me demander si j'étais celui qui souhaitait mener la vie dure au capitaine.

Non, ce n'est pas moi qui voudrait lui mener la vie dure. Je vous avais dit que mon boulot consistait à aider les gens. Eh bien quelqu'un pense que cet homme n'a rien à faire en tant que capitaine, alors je voudrais m'en débarrasser. Vous voyez ? C'est aussi simple que ça.

Bien sûr, vous ne saurez pas qui souhaite le voir partir. Si vous acceptez d'accomplir cette tache pour moi, je pourrais m'assurer que vous rentriez dans la ville. Vous devrez rester caché bien sûr, au moins provisoirement. Peut-être que si la tache est bien accomplie, je pourrais m'arranger pour faire un peu plus et vous permettre de nouveau d'y pouvoir séjourner.

Alors, qu'en dites vous ? Ah, une dernière chose, si vous vous faites avoir, vous devrez taire mon nom ou ma description. SOit vous vous taisez, soit vous mentez. Si vous parlez, je saurais faire en sorte que vous ne parlerez plus jamais.

Il valait mieux mettre les choses à plat directement, afin d'éviter qu'il ne me trahisse tout comme il l'a fait avec sa matriarche et son pays.

Yarrik écouta l'elfe parlez et donnez ces recommandations

- J'ai comprit si je me refait arrêtez je ne vous connait pas pour ce qui est du commanditaire c'est normale qu'il reste dans l'ombre et je respecte cela. Mais pour se travaille il va falloir que je me réarme si vous connaissez un forgeron qui fait crédit cela pourrai m'arranger.

Yarrik remonta dans l arbre pour prendre son sac et redescendis

- La ou je suis curieux de voir c'est comment allez vous me faire rentré dans la ville chef...

Au moins il avait compris qu'il ne devait pas me trahir... Mais je ne suis quand même pas à l'abri d'une coquille. Mais se réarmer... Je ne vois pas en quoi c'était nécessaire, il y a d'autres moyens d'embêter les gens...

Vous n'êtes pas de taille pour affronter le capitaine. Même s'il est un imbécile fini, il n'en est pas moins le capitaine. Certains misent sur la force brute, c'est son cas. Et même s'il est vieux, il est un militaire supérieur à vous. Avec des gardes à sa solde, et d'autres choses...

Avec 100 pièces, vous n'aurez rien. S'il ne vous a laissé que ça, ce n'est pas pour rien. Et encore, je suis même pas sûr qu'il l'ai fait exprès... Enfin.

Il partit chercher son sac, puis à mon retour me demanda comment j'allais le faire pénétrer en ville.

Haha... Et quand vous serez seul vous ferez comment ? Enfin, pour ce coup les gardes ont été un peu empoisonnés. Ils vont vite avoir des hallucinations... Je vous propose de nous rapprocher de la ville. Une fois à l'intérieur, vous vous débrouillerez seul. Je saurais où vous retrouver, ne vous inquiétez pas pour ça.

C'est moi qui vient vous voir, pas le contraire. J'ai moi aussi quelques projets pour le capitaine. De mon côté... Je me fiche de comment vous allez vous y prendre, tant que vous ne me trahissez pas moi ni le contrat pour le capitaine.

Je me dirigeais vers les portes de la cité, et commençait à me concentrer pour que les gardes aient des hallucinations consistant à croire à une attaque de quelques créatures. Ca devrait laisser le temps à l'Elfe de rentrer.

Les effets du poison devraient vite commencer, profitez en pour vous faufiler dans la ville.[/i]

Yarrik inclina la tête et parti vers les porte de la ville. En effet les gardes avaient un comportement plutôt bizarre, Yarrik en profita pour se glisser dans la ville ne passant que par les petite ruelle. Après quelque minutes a chercher Yarrik trouva une petite impasse assez sombre.

* Cela devrait faire l'affaire, très peu de monde passe par là *

Yarrik chercha dans son sac et sorti des vêtement déchiré de partout. Yarrik changea de vêtement rangea ses arme de le sac se roula dans une flac d'eau pour que ces vêtement est une odeur plutôt...

* Plus cas me faire passer pour un clochard.. *

la nuit était tomber sur la ville depuis peu de temps les bougies étaient elles aussi allumé Yarrik change de vêtement et parti explorer le quartier du haut des toits de maison repérant les impasse les ruelle a ne pas prendre la ou les garde passai le plus souvent pendant leur ronde.

Après avoir explorer le quartier sur les toit de la ville évitant d'être vue par les sentinelle et les patrouilles en évitant une de justesse Yarrik repris son rôle de clochard dans l'impasse.

* bon pas beaucoup de sorti mais normalement il devrait pas y avoir de problème *

Alors que Yarrik flânait dans l'impasse, un bruit se fit entendre non loin. Des bruits de pas semblaient de rapprocher doucement mais sûrement. Bientôt, deux vois s'élevèrent, deux voix graves. Se rapprochant toujours, les voix s'éclaircissaient. Quelques secondes avant inaudibles, Yarrik était maintenant en mesure d'entendre ce qui pouvait se dire.

Et alors là ils se sont fait embarquer... Et aujourd'hui on la voit qui se promène en se faisant passer pour un garde. Remarque, ça doit être vrai puisqu'un des Impériaux l'a amenée... A moins que c'était pour la raccompagner en cellule... Haha!

A ce qui se dit l'autre a été exilé. Moi ça me gêne pas, j'aime pas trop les Elfes Noirs... Moins y'en a, mieux j'me porte !

Les deux hommes se trouvaient maintenant au niveau de l'impasse. Là, ils s'arrêtèrent et l'un d'eux regarda l'impasse. L'autre, le plus grand des deux, suivait du regard.

Qu'est-ce qui a ? Un soucis ? C'est l'odeur très forte de la ruelle qui t'incommode ?

Nan, j'ai cru voir une ombre... Enfin, c'est peut-être moi qui rêve... Mais c'est vrai que ça pue ici. On va jeter un coup d'oeil ?

Heu... Vas-y si tu veux, moi je reste ici. Ca sent déjà assez mauvais sans qu'on s'engouffre là dedans... Ca m'étonnerait même pas qu'il y ait un cadavre là dedans. Enfin si tu veux aller voir, je t'en prie...

Le plus petit des deux avançait dans la pénombre, s'approchant toujours plus du lieu où se trouvait Yarrik. L'autre le regardait, l'air amusé. S'avançant encore un peu plus, le petit homme s'arrêta cependant, à quelques mètres de Yarrik.

Alors, y'a rien ? L'odeur est trop repoussante ?

Nan, j'ai marché sur quelque chose de mou... Et ça pue... Ca doit être un cadavre à tous les coups. Ouais, c'est assez grand, ça pourrait être un Elfe. Il a pas l'air de bouger...

Laisse ça, j'ai pas envie qu'on nous accuse de meurtre ! Allez viens, on s'en va !

Ouais, j'arrive... N'empêche que...

Le petit homme fit demi tour, et, avant de partir regarda une dernière fois dans l'impasse.

J'étais sûr d'avoir vu une ombre...

Les deux hommes s'en allèrent. En regardant bien, Yarrik put s'apercevoir de la masse couchée dans la semi-obscurité. Elle semblait tout à fait inerte, et des mouches volaient autour du corps. Peut-être la place devait être libérée avant que quelqu'un ne découvre le corps...

Hein ? Qu'est-ce qui se passe ?

La masse s'agita d'un coup, puis redevint à son état d'origine, tout à fait immobile. Peut-être n'était-ce finalement qu'un mendiant qui dormait paisiblement...

Avec la mauvaise nuit passée en prison et la journée qu'il venait de subir, Yarrik commençait à être fatigué. Peut-être l'odeur de cette ruelle serait assez forte pour repousser tous ceux qui oseraient s'en approcher...